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Formée à la sonologie avec Emmanuel Comte, je vous invite à découvrir cette passion qui m'anime depuis plusieurs années.

Le massage sonore ou la relaxation par les bols tibétains et les diapasons thérapeutiques, se pratique de manière individuelle ou en groupe jusqu'à 8 personnes.

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La Sonothérapie est recommandée en complément de l'ostéopathie et soulage les symptômes tels que les douleurs articulaires et musculaires, des troubles digestifs, migraines, acouphènes, rhumatismes, fibromyalgie, troubles du sommeil, stress, anxiété, phobies, syndrome dépressif, accompagnement en fin de vie...

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La maladie et la douleur qui correspondent à des fréquences, apparaissent lorsque le corps perd sa fréquence d’harmonie.

En résumé, l’application de fréquences de rééquilibre permet de retrouver l’harmonie perdue.

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Massage sonore: utilisation de diapasons posés sur le corps sur des points spécifiques des méridiens  afin de rétablir une bonne circulation énergétique sur ceux ci, puis recevoir le contact des  bols tibétains sur la peau ou l'enveloppe énergétique permet d'harmoniser le corps, émotions, pour se recentrer et être en accord avec soi.

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Bain sonore ou relaxation par les bols: allongé  en position méditative, recevez le sons et les vibrations des instruments thérapeutiques afin de pour retrouver bien-être, détente et joie de vivre

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La Sonothérapie est vieille comme le monde ( Medson)

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À notre époque, de plus en plus de neuroscientifiques mettent en évidence les bienfaits de la méditation et de la relaxation. Ils montrent aussi l'impact incroyable des vibrations sonores et musicales sur le cerveau et les circuits neuronaux.

Nous avons ainsi la capacité d’entrevoir les perspectives étonnamment prometteuses qu’offre la combinaison de ces deux voies : la pratique de la méditation et la pratique des sons.

La Sonothérapie est une sorte de méditation sonore.

Et il n’est pas étonnant par ailleurs de constater à quel point la pratique sonore au sens large a de tout temps accompagné les multiples démarches spirituelles. Pensons aux chants böns et tibétains, au didgeridoo australien, aux tambours de la terre de Kama (Afrique), aux rituels pythagoriciens, celtes, cathares, chamaniques, amérindiens, juifs, musulmans, hindous, islamiques, chrétiens et la liste pourrait s’allonger facilement : il est aisé d’y trouver une constante sonore. Le son est là qui accompagne, soutient, protège, soulage, inspire et même guérit. Depuis des temps immémoriaux, le son est utilisé dans un contexte thérapeutique, par la musique, le chant et la percussion.

Car oui, le son guérit. Il est utilisé aujourd’hui en médecine et ce n’est qu’un début. La pratique médicale commence à se consacrer enfin à la réalisation pleine et entière du serment d’Hippocrate : ne pas nuire en premier lieu. Et la prescription du son en tant que médecine à part entière pourra alors atteindre une grande amplitude et se généraliser.

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La Sonothérapie et la science : la Sonologie ( Medson)

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La science découvre chaque jour que la musique accompagne et soutien aussi le processus interne de la vie. Si Gabriel Popescu (MIT - Institut de Technologie du Massachusetts) a pu observer la vibration des membranes cellulaires, Lakhovski l'avait pressentie en 1925.

James K, Gimzewski (UCLA - Université de Californie à Los Angeles), a pu écouter le son des cellules, d'autres ont écouté le chant des neurones, qui conversent de concert, comme le relate Brian J. Ford dans la revue New Scientist : The Secret of intelligence lie within a single cell (Les secrets de l'intelligence se trouvent dans une seule cellule, 26 avril 2010).

Les découvertes faites par le Dr Jacques Benvéniste (1935-2004) (INSERM - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), l'ont amené à entrevoir que les molécules de notre corps pourraient être des émetteurs-récepteurs kilohertziens. Et nul autre que le Prix Nobel de Physiologie ou Médecine Luc Montagnier, soutient aujourd'hui que Jacques Benvéniste œuvrait dans une bonne direction.

Depuis de nombreuses années, le Dr Joël Sternheimer clame que les acides aminés composant les protéines correspondent à des notes de musique. Il arrive ainsi à renforcer des fonctions protéiques en faisant « écouter » certaines mélodies aux plantes. Il serait encore ardu d'affirmer que les sons pourraient fournir une énergie nécessaire à la réparation de l'ADN mais c'est une voie de recherche... Voir le livre Le Son de Vie, (Québécor 2011).

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